Suite et fin si longtemps attendue de « La servante écarlate », « Les testaments » est un roman plus facile à aborder que son illustre prédécesseur. La narration à trois voix permet de prendre de la hauteur et de la profondeur, et devient, de fait, moins étouffant que le premier tome. Avec un propos toujours très politique et humaniste, Margaret Atwood dépeint des sociétés imparfaites qui tentent de faire de leur mieux, pour le meilleur... et pour le pire. Une lecture qui interpelle, comme toujours dans l'oeuvre de son auteur.
Virginie
l'autrice se concentre sur les émotions de son héroïne adolescente, sa colère, sa tristesse.
Ce qui en fait un roman d'une grande sensibilité.
Valérie