Ce roman est une oeuvre de peu de mots. En moins de 200 pages, il nous transporte dans l'âme du Japon, à l'avènement de l'ère Meiji, lorsque les samourai durent faire place, afin de laisser entrer le reste du monde dans l'archipel. La voie du sabre et celle du thé se mêlent pour nous conter le destin d'Ibuki, qui voulait découvir la première, et qui rencontra la deuxième.

Une lecture délicate, un moment suspendu. Une très belle rencontre.

Virginie