Monet, "un oeil, mais bon dieu, quel oeil!"
± un oeil... mais, Bon Dieu, quel oeil ! »
En 1874, " Impression, soleil levant " déchaîne la critique. Les impressionnistes, ces " malades de la rétine ", bouleverseront pourtant la peinture. Touche et couleurs sont fragmentées pour traduire les vibrations de la lumière, jusqu'à cette étape ultime, les " Nymphéas ", qui font d'un Monet presque aveugle le précurseur des abstraits. Sylvie Patin laisse parler le peintre. Un regard, une vision, un oeil -" Monet, ce n'est qu'un oeil... Mais, bon Dieu, quel oeil ! ", s'exclamait Cézanne -, une vie immensément longue, un lieu enfin, Giverny, où Monet réinvente la nature.
Auteurs :
Editeur :
Collection
Découvertes Gallimard [Texte imprimé]
Type :
livreDisponible (1)